Archive de la catégorie ‘Des chiffres !’

La TEAM CFTC vous informe : voici le prix des tests à partir du 15 octobre

Jeudi 14 octobre 2021

Bonjour,

Vos élus CFTC vous disent tout : à partir du 15 octobre , la réalisation d’un test sera, de principe, à la charge de la personne.

Ils varient en fonction du type de test (RT-PCR ou antigénique) et du professionnel qui les réalise, et du jour et du lieu où ils sont effectués.

Tests RT-PCR, réalisés par des laboratoires de biologie médicale : le tarif de référence sera de 43.89 euros.

Tests antigéniques : pharmacien : 25.01 € en semaine et 30.01 € le dimanche

Laboratoire de biologie médicale : 22.02 €.

InfirmIer : 25.54 € en cabinet et 29.01 € à domicile
Médecin : 45.11 €
Sage-femme : 45.11 €
Chirurgien-dentiste : 25.10 €
Kinésithérapeute : 24.93 € en cabinet et 29.45 € à domicile
Prenez soin de vous et de vos proches,
Legisocial – 14/10/2021

La TEAM CFTC vous informe : COVID

Jeudi 15 avril 2021

Bonjour,

Triste jour le bilan des 100 000 morts du Covid-19 en France sera atteint ce jour malheureusement.

Nos pensées vont à toutes ces famille endeuillées qui pour certaines n’ont pas pu vivre ces dernières heures avec leur famille ou n’ont pas pu les enterrer correctement.

Tout notre soutien pour tout le corps médical : médecins, infirmières, ambulanciers, agents d’entretien, etc. qui continuent la lutte quotidienne avec courage et détermination afin de vaincre cette maladie.

Merci à vous, merci pour votre abnégation, merci pour votre soutien sans faille auprès des malades et de leurs familles.

 

Prenez soin de vous et de vos proches,

 

 

LNESTTRISTE – 15/04/2021

 

La TEAM CFTC vous informe : les EDV (Entreprises Du Voyages) demandent au gouvernement « de libérer les voyages »

Mardi 24 novembre 2020

Bonjour

Alors que le Président de la République Emmanuel Macron s’exprimera mardi 24 novembre 2020 au soir pour dévoiler son plan de déconfinement, les Entreprises du Voyage demandent dans un communiqué de presse au gouvernement « d’assumer les conséquences de ses décisions en indemnisant les professionnels des frais qu’ils supportent lorsque le confinement les contraint à annuler des départs ». Le syndicat demande également de libérer les voyages afin de clarifier une situation qui profite aux voyagistes en ligne…                    

« Le confinement interdit de rejoindre les aéroports sans motif médical, familial ou professionnel impérieux. Les voyagistes sont donc contraints d’annuler les « voyages à forfait » organisés en période de confinement et de rembourser leurs clients. Cependant les compagnies aériennes ne remboursent pas les billets émis dans la cadre de ces voyages lorsque les vols opèrent.

Les Entreprises du Voyage demandent au gouvernement d’assumer les conséquences de ses décisions en indemnisant les professionnels des frais qu’ils supportent lorsque le confinement les contraint à annuler des départs.

Actuellement, il n’y a aucune difficulté à organiser son voyage en réservant le vol sur le site d’une compagnie ou d’une agence, l’hébergement sur une plate-forme en ligne… puis de se rendre à l’aéroport et de voyager.

Les Entreprises du Voyage demandent au gouvernement de prendre acte de l’absurdité de cette situation qui contraint un professionnel d’annuler un voyage que le voyageur peut organiser lui-même sans difficulté.

De nombreux pays, des départements ultramarins, ont mis en place des protocoles sanitaires qui leur permettent d’accueillir des touristes. L’avion n’est pas un moyen de transport dans lequel se propage le Covid (renouvellement de l’air, port des masques…), les aéroports français sont équipés pour procéder à des tests systématiques au départ et à l’arrivées des voyages internationaux.

Les Entreprises du Voyage demandent au gouvernement de constater que les procédures sanitaires rigoureuses mises en œuvre dans les aéroports français permettent de libérer les déplacements domestiques et internationaux en avion.

Enfin, Les Entreprises du Voyage demandent au gouvernement une meilleure anticipation : un voyage, comme un séjour aux sports d’hiver, ne se réserve pas et ne s’organise pas dans des conditions idéales à la dernière minute

« L’autre c’est le soleil », message de Jean-Pierre Mas

Les professionnels du tourisme, responsables des conséquences de leurs actes, sont pris dans un étau.

Le confinement interdit de rejoindre un aéroport sans motif médical, familial ou professionnel. Jean-Baptiste Lemoyne conseille d’attendre pour réserver ses vacances et bien évidemment de ne pas enfreindre la loi en partant en vacances.

Les voyagistes discipliné annulent les voyages, remboursent leurs clients et se voient opposer de la part de la compagnie aérienne un refus « légal » de remboursement puisque le vol opère.

En même temps rien n’empêche un client, déçu de ce « retrait », de partir au bout du monde en réservant son voyage sur le site d’une compagnie, d’une OTA, voire même celui du voyagiste qui a annulé le voyage initial ; puis en organisant son séjour via Booking, Airbnb, un hôtel ou un hébergeur… et de voyager en se demandant à quoi sert cet intermédiaire qui n’est même pas capable de lui délivrer ce qu’il a si facilement organisé lui-même.

Nous survivons en « Absurdie ».

De deux choses l’une :
• Le gouvernement doit assumer les conséquences de ses décisions et indemniser les professionnels des frais qu’ils supportent lorsqu’ils sont contraints d’annuler des départs en raison du confinement.
• Le gouvernement doit prendre acte de la réalité ; accepter que de nombreux pays et des départements ultra-marins sont disposés à accueillir les français, et constater que les voyages en avion ne favorisent nullement la propagation du Covid, surtout avec les dispositions sanitaires strictes que les aéroports sont entrain de mettre en œuvre.

Nous pouvons travailler tout en protégeant la santé des voyageurs.

C’est pour cela que demain soir, nous attendons de la part du Président de la République une clarification et un engagement.

Comme l’écrivait opportunément Jacques Prévert : « de deux choses l’une, l’autre c’est le soleil ».

Jean-Pierre Mas

 

Prenez soin de vous et de vos proches,

 

TourMaG – 24/11/2020

 

Budget 2017 : ce qu’il faut retenir du projet de loi de finances 2017

Vendredi 30 septembre 2016

ECONOMIE Le gouvernement a présenté ce mercredi matin sa recette budgétaire pour faire passer le déficit public sous la barre des 3 % en 2017…

Un dernier budget avant la présidentielle et une mesure fiscale « historique ». Le ministre de l’Economie et des Finances Michel Sapin n’a pas mâché ses mots ce mercredi matin lors de lors de la présentation à Bercy du projet de budget pour l’année prochaine. Au menu : des baisses d’impôts quelques ruses fiscales mais surtout l’adoption du prélèvement à source de l’impôt sur le revenu. 20 Minutes fait le point sur les principales nouveautés de ce PLF 2017.

Le « prélèvement à la source » de l’impôt sur le revenu

Après des décennies d’atermoiements, le gouvernement a enfin franchi le pas : la France s’apprête à adopter le prélèvement à la source » de l’impôt sur le revenu, déjà en vigueur dans de très nombreux pays. Objectif : supprimer le décalage d’un an entre la perception des revenus et leur imposition.

Cette réforme, prévue pour entrer en vigueur au 1er janvier 2018, mais qu’une partie de la droite promet de supprimer, sera soumise au Parlement à l’automne a rappelé ce mercredi le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, assurant qu’elle « bénéficiera à tous les Français », leur permettant « de mieux affronter (…) certains moments importants de leur vie ».

Concrètement l’adoption de cette réforme obligera les entreprises à se préparer dès 2017, en adaptant par exemple leurs logiciels de paye. Chez les salariés, l’impôt sera prélevé directement par l’employeur sur la base d’un taux transmis par le fisc. Chez les retraités, la collecte sera réalisée par la caisse de retraite. Les travailleurs indépendants verseront quant à eux un acompte mensuel ou trimestriel, calculé en fonction de leurs revenus des mois précédents.

Nouvelles baisses d’impôts

En finir avec le « ras-le-bol fiscal », suscité par les fortes hausses des impôts du début du quinquennat. C’est l’autre objectif de cet ultime budget. Le PLF 2017 prévoit ainsi une baisse de l’impôt sur le revenu d’un milliard d’euros ciblée sur les classes moyennes, qui touchera cinq millions de foyers fiscaux, mais aussi une extension à tous les ménages du crédit d’impôt pour les services à la personne.

Ce geste s’ajoutera à un nouveau train de mesures en faveur des entreprises, dans le cadre du pacte de responsabilité. D’un montant de cinq milliards d’euros, ce paquet fiscal prendra la forme d’un renforcement du Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) et d’une baisse ciblée de l’impôt sur les sociétés, pour un montant de cinq milliards d’euros. Les artisans bénéficieront quant à eux d’environ 100 millions d’allégements de charges.

Des dépenses ciblées (mais en hausse)

L’Etat devrait dépenser 381,7 milliards d’euros en 2017, soit 7,4 milliards de plus qu’en 2016. En cause : les multiples mesures annoncées depuis le début de l’année face aux priorités de l’actualité, comme le plan pour l’emploi, et le renforcement de la sécurité sur le territoire après les attentats.

Le projet de loi de finances prévoit la création nette de 13.847 emplois de fonctionnaires d’Etat. Dans le détail,11.712 postes seront créés dans l’Education nationale, l’enseignement supérieur et la recherche, 2.100 à la Justice et 1.746 à l’Intérieur. Les autres ministères verront leurs effectifs réduits de 2.521 postes, dont 1.540 pour le seul ministère des Finances.

La hausse des dépenses prévue dans le cadre du projet de budget 2017 profitera principalement à l’enseignement et la recherche, dont l’enveloppe grimpera de 2,1 milliards d’euros, et à l’emploi, qui verra son budget augmenter de 1,8 milliard. La sécurité, la justice et la défense, en première ligne depuis les attentats, gagneront quant à elles 440 millions, 290 millions et 600 millions.

Des économies surtout à la Sécu

Pour les compenser, Bercy prévoit des efforts supplémentaires du côté de la Sécurité sociale (1,5 milliard d’euros).

Bercy prévoit pas moins de 1,2 milliard d’économies supplémentaires en 2017 sur la charge d’intérêt de la dette. Les taux d’emprunt de la France à 10 ans sont aujourd’hui au plus bas, à 0,3 %. Michel Sapin se base sur un « scénario prudent de remontée du taux » à 1,25 % fin 2017.

Le gouvernement table aussi des rentrées d’argent plus fortes que prévu dans la lutte contre la fraude fiscale. : Avec un secret bancaire sur le point de disparaître, en raison de la prochaine application de l’échange automatique d’informations, le retour de capitaux s’est accéléré ces dernières années. Les propriétaires de comptes non déclarés à l’étranger accourent désormais à Bercy pour régulariser leur situation. Cette année, l’Etat table sur 1,9 milliard de recettes supplémentaires issues de la lutte contre la fraude fiscale. Il maintient le même objectif pour l’année prochaine.

L’objectif de 50 milliards d’euros d’économies en trois ans, promis à Bruxelles en 2014, ne sera pour sa part pas tenu, mais atteindront « 46 milliards entre 2015 et 2017″, selon Bercy.

Des astuces fiscales

Pour boucler son budget, Bercy mise également sur des astuces fiscales. Le recours au CICE pour remplacer la suppression de la C3S (contribution sociale de solidarité des sociétés) initialement prévue, permettra ainsi à l’Etat d’économiser 3,3 milliards d’euros, les crédits d’impôt pour l’année 2017 étant dus… en 2018.

Le montant du dernier acompte de l’impôt sur les sociétés, versé en décembre, sera quant à lui augmenté pour les grandes entreprises. Ce qui permettra de faire glisser sur 2017 près de 400 millions d’euros qui auraient normalement dû être touchés l’année suivante.

Un cadrage serré

Malgré le scepticisme du Haut conseil des finances publiques (HCFP), qui a jugé mardi la prévision de croissance du gouvernement (1,5 %) « optimiste » et l’objectif de 2,7 % de déficit public « improbable », le ministre des Finances Michel Sapin, a de nouveau vanté ce mercredi le « sérieux budgétaire » du gouvernement. « Il n’y aura aucun dérapage des finances publiques dans ce budget, dans tous les cas tant que nous en aurons la responsabilité », a promis le ministre, qui s’est engagé à ramener le déficit public sous la barre des 3 % imposée par Bruxelles.

L’équation apparaît néanmoins serrée. L’activité s’est contractée au deuxième trimestre, pour atteindre -0,1 %. Et le vote en faveur du Brexit a fait naître une série d’inquiétudes, poussant les grandes organisations à revoir à la baisse leurs prévisions pour 2017, à l’image du FMI (qui prévoit 1,2 %) et de l’OCDE (1,3 %).

« L’élan pris par la croissance va se poursuivre », martèle de son côté Michel Sapin. Qui juge que les « moteurs internes » de la croissance française restent « vigoureux ».

20 MINUTES – 28/09/2016

Carlson Wagonlit Travel France s’apprête à supprimer 30 emplois !

Lundi 6 juin 2016

nouveau PSE en préparation

 

Un nouveau plan de sauvegarde de l’emploi est actuellement en préparation du côté de Carlson Wagonlit Travel France. Le groupe américain souhaite supprimer une trentaine d’emplois salariés en France.

Carlson Wagonlit Travel (CWT) va de nouveau tailler dans ses effectifs en France.

Le groupe prépare actuellement un 5e plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) dans le cadre de l’externalisation de certains services et d’une démarche de réorganisation globale.

Selon nos informations, le plan porte sur un total de 30 postes. Ce sont les services Finance, Ressources Humaines et les services généraux (entretien, maintenance des locaux, administratif) qui sont concernés.

Les premières informations communiquées aux représentants du personnel dans le cadre du comité d’entreprise (CE) font état de 14 suppressions de postes sur le site de Lyon de CWT France, 15 au siège (Kinétik) de Boulogne-Billancourt et un licenciement à Belfort.

Ce nouveau PSE fait également suite à la délocalisation, en Pologne, d’une dizaine d’emplois du service Informatique, il y a quelques semaines. Il s’agissait de salariés qui étaient déjà employés par une société externe mais qui étaient basés au siège jusqu’à début 2016.

 

Difficultés financières ?

La direction nous a annoncé ce nouveau PSE immédiatement après les dernières élections des représentants du personnel« , raconte Zilda Couteau, déléguée centrale CGT chez CWT France.

Elle s’étonne de cette décision car, selon elle, le groupe ne devrait pas connaître de difficultés financières.

« En février 2016, nous avons déménagé dans un nouveau siège, tout neuf, avec du mobilier tout neuf également. Par ailleurs, CWT a vendu, en novembre 2015, Havas Voyages et ses 800 salariés. Cela a dû rapporter beaucoup d’argent« , estime la déléguée CGT.

De son côté, Bertrand Mabille, exécutive vice-président de CWT France, précise que les motivations de ce plan ne sont pas financières : « il concerne uniquement des fonctions support car le groupe tend à globaliser certaines de ces fonctions à l’échelle mondiale. »

Le groupe « essaie de diminuer au maximum ses coûts de structure, traduit, quant à lui, Jérémy Jacq, délégué syndical central FO chez CWT France.

L’objectif est évidemment d’améliorer les résultats pour ensuite redistribuer des dividendes et d’autres formes de rémunération aux actionnaires. »

Toujours est-il que, pour Zilda Couteau, « ils avaient la possibilité de mettre en place un plan de départs volontaires plutôt qu’un PSE« .

Sur ce point, Bertrand Mabille se montre rassurant. Il précise que « pour l’heure, c’est une procédure d’information-consultation qui est engagée avec les partenaires sociaux. Cela devrait, in fine, se traduire par un plan de départs volontaires. »

 

« Graves conséquences sociales »

Mais ce qui l’inquiète le plus, c’est le profil des salariés touchés par les licenciements à venir. Surtout leur âge moyen qui dépasse 45 ans.

« Certains sont dans l’entreprise depuis plus de 20 ans. Ils risquent d’avoir énormément de mal à retrouver un emploi, estime-t-elle. Ce plan aura de graves conséquences sociales. »

« La variable d’ajustement des choix stratégiques de la direction est, malheureusement, toujours le personnel, regrette son homologue de FO. En revanche, au niveau stratégique, nous ne savons pas vraiment où va le groupe. Il s’agit du 5e PSE en moins de 10 ans. Les gens se demandent « à qui le tour ? »"

Autre problème pour les représentants du personnel : les indemnités proposées pour les employés de CWT France qui partiront sont inférieures à ce qui avait été mis en place lors du dernier PSE.

« Nous ferons en sorte que les compensations soient conformes à la loi et les solutions de reclassement suffisantes pour tous les salariés concernés« , répond Bertrand Mabille.

Les 3 syndicats de l’entreprise demandent à la direction l’élargissement du périmètre du PSE et, surtout, la mise en place du glissement qui permettrait d’éviter au maximum les départs contraints.

Ils sauront si leurs propositions sont acceptées mardi 7 juin 2016 lors de la prochaine réunion du CE. En tout état de cause, l’inspection du travail (DIRECCTE) remettra son avis et le plan sera bouclé d’ici fin juin 2016.

TOUR MAG – 05/06/2016

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